
«Cette artiste polonaise propose un piano intuitif et libre, qui se joue des codes et des étiquettes.» (Arte) Hania Rani est cependant bien plus qu’une instrumentiste assise sagement sur un tabouret: interprète habitée, elle pose sa voix cristalline sur des nappes électroniques tour à tour contemplatives et rythmées. Dans la droite ligne d’un Nils Frahm ou d’un Ólafur Arnalds, qu’elle admire, voici une nouvelle incarnation d’une musique néoclassique décomplexée.